La résistance croissante de nombreux agents pathogènes aux antibiotiques représente un problème de santé publique majeur. Un nouveau projet financé par l’UE a développé une machine automatisée de test de précision afin de réaliser un dépistage de masse de la résistance bactérienne.La résilience croissante des microbes aux antibiotiques représente une grave menace pour la santé mondiale. La résistance aux antimicrobiens entraîne 30 000 décès par an dans l’UE, et environ 700 000 à l’échelle mondiale. Selon les scientifiques, d’ici 2050, les infections dues à des microbes résistants aux médicaments causeront davantage de décès dans le monde que tous les cancers combinés.
Grâce à la caméra et à une application de votre smartphone, un nouvel algorithme est capable de détecter la présence éventuelle d’une fibrillation auriculaire, un important facteur de risque d’accident vasculaire cérébral (AVC).En tant que deuxième cause de décès la plus courante, les accidents vasculaires cérébraux tuent plus d’un million d’Européens chaque année. En sachant que neuf AVC sur dix peuvent être évités, l’on peut se demander pourquoi autant de personnes en meurent.
Lire la suite Numériser la détection et la prévention des accidents vasculaires cérébraux
UpSurgeOn Academy introduit la première plateforme de simulation hybride qui combine des outils numériques et physiques pour proposer une formation neurochirurgicale aux étudiants en médecine, aux internes en neurochirurgie et aux chirurgiens confirmés.La neurochirurgie est l’une des disciplines médicales les plus coûteuses et aussi l’une des plus longues, avec une formation d’une durée moyenne de 15 ans et des frais de scolarité pouvant atteindre 60 000 euros par an (sur la base des frais de la Harvard Medical School).
Lire la suite Un premier simulateur hybride ultraréaliste pour la formation neurochirurgicale
Pour la première fois, des chercheurs ont développé des lignées de cellules souches provenant de porcs, de moutons et de bovins, jetant ainsi les bases de la fabrication de viande cultivée.Dans un monde confronté à une population humaine croissante et au réchauffement climatique, la viande cultivée en laboratoire présente des avantages évidents. Elle nécessite beaucoup moins de terres, utilise moins d’eau et génère moins de pollution. Cependant, malgré des décennies d’efforts, les scientifiques ont eu du mal à créer des cultures stables de cellules souches provenant d’animaux d’élevage afin de produire ce type de viande.
Pour la première fois, une équipe de chercheurs est parvenue à prélever des cellules souches sur du bétail et à les cultiver dans des conditions chimiquement définies. Soutenues en partie par le projet PLASTINET financé par l’UE, ces recherches jettent les bases de la production de viande cultivée et de l’élevage de bétail amélioré.
Une meilleure option pour les produits alimentaires cultivés
Comme on peut le lire dans l’étude publiée dans la revue «Development», les scientifiques ont pu développer des lignées de cellules souches à partir d’embryons de porcs, de moutons et de bovins cultivés in vitro sans utiliser de cellules nourricières, de sérum ou de substitut de sérum. Dans la culture de cellules in vitro, un sérum animal tel que le sérum fœtal bovin est normalement ajouté au milieu de base comme source de nutriments. Toutefois, ce sérum est chimiquement indéfini, sa composition varie d’un lot à l’autre et il comporte un risque de contamination. En rejetant l’utilisation du sérum fœtal bovin et en optant plutôt pour un milieu de croissance dont tous les composants sont connus, l’équipe a pu obtenir une plus grande cohérence et sécurité. Cela en fait une option plus souhaitable pour la fabrication de produits alimentaires destinés à la consommation humaine.
«La capacité de dériver et de maintenir des cellules souches d’animaux d’élevage dans des conditions chimiquement définies ouvre la voie au développement de nouveaux produits alimentaires, tels que la viande cultivée», observe le professeur Ramiro Alberio, coauteur principal de l’étude, de l’université de Nottingham, au Royaume-Uni, dans un communiqué de presse publié sur «ScienceDaily». «Les lignées cellulaires que nous avons développées constituent un changement radical par rapport aux modèles précédents, car elles ont la capacité unique de se développer de manière permanente pour fabriquer du muscle et de la graisse.»...
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Des essais cliniques ont révélé la manière dont des virus modifiés qui se répliquent dans les cellules cancéreuses peuvent faciliter la découverte des tumeurs par le système immunitaire de l’organisme. Ceci pourrait déboucher sur des traitements plus efficaces et sauver davantage de vies.
Les médicaments immunothérapeutiques – qui aident le système immunitaire de l’organisme à localiser et à combattre des cellules cancéreuses spécifiques – ont changé la façon de traiter cette maladie. Cependant, pour de nombreux patients atteints d’une tumeur cancéreuse solide à un stade avancé, les options de traitement efficaces à long terme ne sont souvent plus disponibles.
«Malgré le succès clinique de l’immunothérapie du cancer, étendre les avantages du traitement à un plus grand nombre de patients demeure un défi», déclare Akseli Hemminki, fondateur et directeur général de la société biotechnologique TILT Biotherapeutics, en Finlande.
Il s’agit d’un défi sur lequel TILT Biotherapeutics se penche depuis plusieurs années. L’un de ses principaux centres d’intérêt a été le développement de ce que l’on appelle les virus oncolytiques armés.
Ces virus modifiés se répliquent uniquement dans les cellules cancéreuses. Ce faisant, ils modifient le microenvironnement tumoral, rétablissant la capacité du système immunitaire de l’organisme à éliminer les cellules aberrantes.
Un candidat prometteur dans ce domaine a été identifié sous le nom de TILT-123. Les essais précliniques ont révélé que ce virus modifié attirait les lymphocytes T vers les tumeurs et qu’il possédait ses propres effets antitumoraux.
«Il était nécessaire de faire passer TILT-123 du développement préclinique au développement clinique et de générer une première preuve de concept», explique Aino Kalervo, coordinatrice du projet UNLEASHAD et directrice commerciale de TILT Biotherapeutics.
«L’objectif du projet UNLEASHAD consistait donc à nous amener au stade où nos innovations pourraient être financées par des fonds privés et soutenues par des collaborations avec l’industrie pharmaceutique.» ...
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Pouvons-nous vraiment construire des ordinateurs aussi économes en énergie que le cerveau humain? Une nouvelle recherche qui a réussi à combiner une fonction de mémoire et une fonction de calcul en un seul composant nous rapproche un peu plus de cette réalité.L’IA permet aux machines d’accomplir des tâches qui étaient autrefois considérées comme exclusivement l’apanage des humains. Grâce à l’IA, les ordinateurs peuvent faire appel à la logique pour résoudre des problèmes, prendre des décisions, apprendre par l’expérience et effectuer des tâches de type humain. Cependant, ils ne peuvent toujours pas accomplir ces tâches de manière aussi efficace et économe en énergie que le cerveau humain.
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