Les maladies complexes posent des défis particuliers et nécessitent une approche pluridisciplinaire. Dans la formation de jeunes chercheurs visant à intégrer la recherche, les techniques cliniques et analytiques garantissent les progrès en matière de connaissances et de traitements.
Le syndrome cardiorénal (SCR ou CRS pour «cardiorenal syndrome») est une maladie complexe qui implique le dysfonctionnement bidirectionnel et collectif du cœur et des reins, où le problème commence dans l’un de ces deux organes. Le dysfonctionnement rénal et l’insuffisance cardiaque interagissent et s’aggravent mutuellement, avec des facteurs de risque communs tels que l’hypertension, le diabète et les troubles vasculaires. Les mécanismes multifactoriels impliqués dans le SCR empêchent de bien comprendre la physiopathologie de la maladie.
Lire la suite Une formation pluridisciplinaire pour le syndrome cardiorénal
Nous savons que nous héritons des caractéristiques de nos parents et des maladies génétiques également. Des chercheurs européens démontrent aujourd’hui que notre ADN nous prédispose en outre à de graves infections bactériennes.S. aureus est un agent pathogène qui peut entraîner différentes manifestations cliniques. Bien qu’il cause généralement des infections courantes et superficielles, certaines personnes souffrent d’infections graves et mortelles. Il n’existe aucun vaccin, et le traitement des infections peut s’avérer complexe en raison de l’émergence de souches résistantes aux médicaments comme S. aureus résistant à la méticilline (SARM).
Lire la suite Prédisposition génétique aux infections bactériennes
Comment les scientifiques peuvent-ils prédire avec précision la réaction de différentes cellules cancéreuses exposées à différents médicaments? Selon une nouvelle étude, la réponse ne se trouve pas dans les mutations des gènes individuels qui favorisent le développement du cancer, mais plutôt dans la «signature mutationnelle» laissée sur le génome du cancer dans son ensemble.Aujourd’hui, la médecine de précision du cancer recourt aux informations génétiques contenues dans les tumeurs des patients, ce qui permet aux médecins de planifier les traitements et de suivre leur évolution. En étudiant l’ADN d’une tumeur, ils peuvent non seulement identifier les mutations ainsi que d’autres modifications génétiques qui contribuent au développement du cancer chez les patients, mais aussi prédire la réaction de la tumeur face à un médicament donné.
Lire la suite Identifier la clé pour améliorer les traitements contre le cancer
Grâce à de petites modifications aléatoires du patrimoine génétique, les scientifiques peuvent désormais repérer rapidement les signes de résistance chez les bactéries — preuve que certains agents pathogènes pourraient bientôt démolir le mur de défense des antibiotiques.Comme tous les organismes, les bactéries s’efforcent constamment de survivre et de se développer dans un monde en constante évolution, confrontées à des températures changeantes, à des réserves alimentaires variables et — comble de l’horreur — aux antibiotiques. Les mutations, c’est‑à‑dire les modifications du code ADN, sont les principaux moteurs de l’évolution: même les plus petites (changement d’un seul nucléotide) ont de l’importance.
La crise de la résistance aux antibiotiques
Si nous comprenons bien les symptômes de la démence, ce n’est pas le cas de sa cause sous-jacente. Les travaux de PATHAD ont permis de mieux comprendre les voies de la maladie, tout en développant un test biofluide qui pourrait en révolutionner le diagnostic.La maladie d’Alzheimer (MA) est une affection neurodégénérative à l’origine de la plupart des cas de démence. Il semblerait qu’il existe des facteurs de risque à la fois génétiques et environnementaux.
Le signe moléculaire le plus précoce de la MA se manifeste lorsque des bêta-amyloïdes — des peptides composés d’acides aminés — s’agglutinent dans les tissus du cerveau, connus sous le nom d’Abeta42.
Lire la suite Des tests sanguins pourraient révolutionner le diagnostic de la maladie d’Alzheimer
Combinant différentes techniques, des chercheurs soutenus par l’UE ont fait la lumière sur la structure et le fonctionnement d’un échangeur sodium-proton appelé NHA2. Cette découverte pourrait aboutir au développement de nouveaux médicaments contre l’hypertension artérielle et le diabète.La quantité de sel et d’eau contenue dans nos cellules ainsi que leur pH sont strictement contrôlés afin d’assurer leur survie. Pour maintenir le bon équilibre, des protéines spéciales remplissent la fonction essentielle qui consiste à échanger des protons (ions d’hydrogène, ou H+) contre des ions de sodium (Na+) ou de lithium (Li+) à travers les membranes cellulaires. Ces protéines sont appelées échangeurs sodium-proton (échangeurs Na+/H+, ou NHE). Présents dans chaque cellule, les NHE régulent étroitement leurs niveaux de pH et de sodium, ainsi que leur volume en y introduisant Na+ en échange de H+. Les scientifiques ont découvert que, lorsque ces protéines ne fonctionnent pas correctement, elles peuvent entraîner des maladies comme le cancer, le diabète, l’insuffisance cardiaque et l’hypertension.
Lire la suite Les scientifiques mettent en lumière une protéine liée au diabète et à l’hypertension
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